L’occupation du poste présidentiel offre de multiples avantages certes mais ne reste pas sans conséquence. En effet, les conséquences résultant de l’occupation d’un tel poste surgissent pour la plupart du temps à la fin des exercices du/ des mandat (s). C’est ainsi que après avoir perdu son poste de président, Nicolas SARKOZY reste au cœur de nombreuses polémiques mais aussi de nombreuses affaires qui ont finis par avoir raison de lui. La question que l’on pourrait se poser serait de savoir comment Nicolas SARKOZY a fini par être condamné ? Avec cet article, vous découvrirez les faits.
Résume des faits
Si l’ex président Français a été condamné, c’est à cause de l’affaire « Sarkozy-Azibert » encore connue comme affaire des écoutes ou affaire Paul Bismuth. En effet, cette affaire politico-financière remonte en 2014 et dans laquelle Nicolas SARKOZY alors ex-président de la république de France au moment des faits et son avocat d’alors Thierry Herzog auraient corrompu Gilbert Azibert, un magistrat de la cour de cassation en vue d’avoir d’être renseignés sur les affaires judiciaires (affaire Bettencourt) en cours contre eux. Lire notre site pour plus de people.
Pour échapper à l’enquête des écoutes judiciaires dans le cadre des soupçons de financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007, Thierry Herzog se procure une ligne pour Nicolas Sarkozy mais avec un faux nom : celui de Paul Bismuth. Après découverte du forfait commis, alors que Nicolas Sarkozy et de son avocat son mis en examen pour trafic d’influence, corruption active et recel de violation du secret professionnel, Gilbert quant à lui est mis en examen pour corruption passive et trafic d’influence. Le parquet national financier requiert 4 ans de prison dont 2 avec sursis pour les 3 prévenus. Mais en mars 2021, après avoir été reconnu coupables de corruption et de trafic d’influence, les prévenus sont condamnés à 3 ans de prison dont 2 avec sursis pour le magistrat et l’avocat en plus de l’interdiction d’exercer la profession d’avocat et 3 ans avec 1 an ferme pour Nicolas Sarkozy.